Fièrement dressée sur la colline la plus haute de Niort, l’église de Pierre-Théophile Segrétain, premier architecte des Monuments historiques des Deux-Sèvres, se donne des airs de cathédrale avec ses deux flèches de 70 mètres de haut.
Présente dès le XIème siècle, elle connaîtra les guerres de Religion, la Révolution avant d’être entièrement reconstruite au XIXème siècle dans le style néo-gothique.
L’église Saint-André était, dit-on, à la fin du XVIIème siècle, « la plus belle et la plus grande de la province » et également plus ancienne historiquement que Notre-Dame.
Sous la Révolution, en grande partie détruite, elle est débaptisée et nommée le « Temple de la Montagne ».
En 2015, à l’égal de l’église Saint-Hilaire de Niort du même bâtisseur, elle est inscrite sur la liste supplémentaire des Monuments historiques.
Présente dès le XIème siècle, elle connaîtra les guerres de Religion, la Révolution avant d’être entièrement reconstruite au XIXème siècle dans le style néo-gothique.
L’église Saint-André était, dit-on, à la fin du XVIIème siècle, « la plus belle et la plus grande de la province » et également plus ancienne historiquement que Notre-Dame.
Sous la Révolution, en grande partie détruite, elle est débaptisée et nommée le « Temple de la Montagne ».
En 2015, à l’égal de l’église Saint-Hilaire de Niort du même bâtisseur, elle est inscrite sur la liste supplémentaire des Monuments historiques.
Classements & Labels
- Sites et monuments historiques inscrits