Le fumier du marais servait d’engrais au vignoble de la Foye-Monjault, avant la crise du phylloxera.
Les vignobles étaient parfois éloignés des maisons d’habitation. L’entretien de la vigne nécessitait de nombreuses journées de travail avec un personnel conséquent et du matériel. Il était donc pratique de pouvoir se restaurer sur place, voire même d’y cuisiner, d’où la construction de maisonnettes dites “cantines” d’abord sommairement meublées, puis plus confortables (cheminée en pierres de taille, cave avec un escalier en pierre, citerne, cadran solaire sur la façade).
Certaines sont restaurées au début des années 2000.
Les vignobles étaient parfois éloignés des maisons d’habitation. L’entretien de la vigne nécessitait de nombreuses journées de travail avec un personnel conséquent et du matériel. Il était donc pratique de pouvoir se restaurer sur place, voire même d’y cuisiner, d’où la construction de maisonnettes dites “cantines” d’abord sommairement meublées, puis plus confortables (cheminée en pierres de taille, cave avec un escalier en pierre, citerne, cadran solaire sur la façade).
Certaines sont restaurées au début des années 2000.